TEN GATES TOWN
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مختلف ✘ sinclair
Sidi Hassan
Sidi Hassan
PRONOMS : il
DATE DE NAISSANCE : 27/11/1945
ÂGE : 24
OCCUPATION : sans emploi
MBTI : enfp
AVATAR : esmérald(o)
CRÉDITS : avatar by me ¤ art by amancayOkami & yukimora
PSEUDONYME : canou
Lun 2 Oct 2023 - 13:43


❝ Cher Abu
Mon roi
Ab ❞

Il ne savait absolument pas par quoi commencer. Peut-être même que l’entreprise était vaine, car si Sidi s’était tenu à l’écart du monde volontairement, il ne pouvait qu’amèrement remarquer que cet ancien monde ne semblait pas le chercher non plus.
La formulation importait surement peu, si le mépris qui accueillerait ces mots était aussi imperméable qu’il ne le craignait.

❝ J’aurais voulu que cela se passe autrement bien sûr.
Tu me manques.
Ce n’est pas normal que j’essaie de rester fidèle à moi-même, à mes valeurs ? Cela fait de moi un mauvais fils ? Un futur souverain médiocre ?
Tu m’as appris à ne pas donner crédit à ce qu’on pouvait raconter à mon sujet.

J’aurais aimé qu’on ne se quitte pas comme ça.
Peut-être qu’on ne se quitte pas, tout court ? ❞

Le bruit que fait l’aspiration de sa paille ne le dérange pas. Peut-être que cela agace les autres clients, cela dit. Mais son esprit est si concentré sur sa tâche -une tâche accomplie avec acharnement mais sens réelle conviction, ne trouvant aucuns mots dignes d’un réel intérêt- qu’il ne saurait ignorer plus efficacement les quelques regards courroucés jetés dans sa direction.

Essayer de l’atteindre en tant que père n’était sans doute pas la bonne stratégie. Le Roi Hassan n’avait jamais été un homme particulièrement sentimental.

Sidi songeait qu’espérer une rédemption en plaidant le souverain était certainement encore plus vain, comme manœuvre.

Ses doigts qui tracent des mots sans fin sur le papier, ces innombrables feuillets qui s’éparpillent au point de glisser de la table, d’envahir peu à peu le sol sans que le jeune homme ne s’en offusque.
Ecrire a toujours été cathartique, bien sûr. Libérateur. Mais surtout obsédant. Qu’importe le bruit autour de lui ou les quelques glissades que ses feuilles avaient déjà occasionnées, c’est à peine s’il les entendait ! Nul besoin d’artifices, cependant, Sidi avait cette parfaite capacité à s’isoler du monde qui l’entoure sans la moindre difficulté.

Il n’était même pas sûr du pourquoi il écrivait aujourd’hui. Par besoin, évidemment. Mais la vérité, c’est qu’il ne méprisait pas sa nouvelle existence ici. Elle se confrontait parfois aux mêmes besoins de discrétion que sa précédente, mais elle était quasiment anonyme, plus calme. Plus propice aux rencontres, aux joies simples.
Aux joies qui lui conviennent.

« Monsieur ? » Les doigts encore agrippés au gobelet de sa boisson, sa main gauche trace furieusement une pléthore de mots qu’il détesterait relire plus tard. Plusieurs mèches de ses cheveux trop longs lui tombaient devant les yeux et seuls de vifs mouvements venant les écarter de la trajectoire de ses yeux étaient capable de stopper la course de son stylo. « Monsieur ? » Certainement que cette serveuse allait s’impatienter. Quelques secondes de son inattention encore avant qu’elle ne pose sa main à plat sur la page à moitié griffonnée, dorénavant. « Mm ? » Le regard presque hagard qui se relève sur elle aurait pu inspirer assez de sympathie pour la faire décolérer, mais cela ne sembla faire disparaître l’agacement visible sur son visage. « Vous voyez pas qu’vous foutez le bordel ? »

Le bordel ?
Il était persuadé d’avoir déjà entendu l’expression, bien sûr. Mais le débit relativement rapide de son interlocutrice et la sortie de sa concentration parfaite rendait surement sa compréhension plus lente. « … Pardon ? » C’était un vrai soupire qui échappa de l’autre bouche cette fois-ci. « Ramassez vos papiers là ! Ça fait deux fois que quelqu’un glisse dessus, puis c’est pas une décharge ici en fait ! J’sais pas comment ça se passe dans ton pays, l’ami, mais dans mon resto c’est pas- » Un léger regard autour de lui apparaît lui faire comprendre la situation bien plus efficacement que les mots qui lui sont adressés. « Oh ! آسف- je veux dire, pardon, désolé, je vais ramasser ! » Presque aussi efficacement qu’il a su l’ignorer, il se met à ramasser chaque page avec empressement -et peu de regard pour lesdites page- se confondant en excuse par la même occasion. [collor=#009999]« J’avais pas vu, je suis désolé ! »[/color] Sa trop bonne volonté et son léger embarras ne font pas bon ménage, faisant voler quelques papiers encore plus loin, jusqu’à se jucher sous une autre table initialement peu touchée par son désordre inconscient. « تَبًّا ! Pardon monsieur, je vais juste- je- bougez pas, d’accord ? »

C’était souvent le cas, bien sûr. Mais probablement qu’il ne s’étonnerait jamais de se retrouver dans ce genre de situations : à quatre pattes sur le sol d’un fast food, essayant de récupérer une feuille au pied de parfaits inconnus.
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Sinclair Ipkiss
MEMBRE DU STAFF
Sinclair Ipkiss
PRONOMS : he — him
DATE DE NAISSANCE : 14/05/1938
ÂGE : 31 ans
OCCUPATION : forain (propriétaire du stand de tir à la carabine à la foire)
MBTI : ENTP
AVATAR : David Bowie
FACECLAIM : David Bowie
CRÉDITS : avatar par neosen, art par yec_yourz
PSEUDONYME : neosen
VISAGE : مختلف ✘ sinclair Tumblr_pexz5tF6HP1qzhf3uo7_540
Sam 7 Oct 2023 - 21:38

Quand le premier McDonald's a ouvert en 1955 dans la banlieue de Chicago, Sinclair et quelques uns de ses mauvais copains s'y sont rendus comme de grands fous affamés. Il se souvient encore des files interminables pour un burger, une poignée de frites et un gobelet de Coca Cola pour seulement quelques cents - quarante-sept pour être exact. En quelques mois, l'enseigne est devenue un lieu de rassemblement. Il y avait toujours foule, tout le quartier se rameutait et même les villes voisines. Sur le parking devant le restaurant, il y a rencontré Mary, une jolie brune à forte poitrine avec qui il a vécu tous les déboires de la puberté. Ce mauvais pain entre lequel on coince un morceau de steak et une bonne dose de cheddar a le goût de l'adolescence et des premières bêtises. Depuis, manger un burger dans un McDonald's réveille ses instincts primaires. Difficile de se concentrer sur sa lecture, car Bien être chez soi et en soi n'a plus aucun intérêt face aux souvenirs fougueux de Mary. Qui se résume à une poitrine - impossible de se rappeler de quoi que ce soit d'autre à son propos. Une gifle mentale, quelques papiers glissés sous ses pieds et le voilà à nouveau dans la réalité de 1969, la mauvaise humeur qui vient avec.
En voyant ce type se faufiler près de ses chevilles pour ramasser son bazar, il se lèche allègrement les doigts recouvert de sel et abandonne ses frites. Ce n'est pas par véritable bonté qu'il se baisse pour ramasser la paperasse, simplement pour être débarrassé de la présence parasite de l'étranger. L'air sévère, il ne peut s'empêcher de jeter un coup d'oeil intéressé aux feuilles griffonnés. Après de nombreuses années d'errance dans les mauvais quartiers de Chicago, toute forme d'art et de culture suscite son intérêt - il ressent le besoin de grandir et d'apprendre, constatant ainsi tous les manques de son enfance.

En lisant les lignes griffonnées, il ne peut s'empêcher de grimacer. De toute évidence, sa définition de la passion est plus vulgaire que ce qu'il lit là - les mièvreries ont tendance à l'embarrasser plus qu'à l'émouvoir.
Sinclair regarde la feuille. L'inconnu. La feuille. L'inconnu. La feuille. Exprime un dégoût succinct et exagéré. « T'as volé ça au journal intime d'une adolescente ? Espèce de gros pervers. » Une première réflexion peu aimable qui toutefois engage le dialogue. Ipkiss est fait de contradiction - mais on ne lui reprochera jamais de ne pas faire le premier pas. Pour quelqu'un d'aussi fermé que lui, il est étrangement volontaire à l'idée de rencontrer de nouvelles personnes. Après tout, Millden est un drôle d'endroit, sa terre de naissance - la comprendre c'est aussi se comprendre lui-même.
En attendant, il juge.
Ah, et, bien sûr, le vouvoiement ne fait pas parti de ses bases - le respect n'a pas vraiment fait parti des valeurs principales de son éducation.


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Sidi Hassan
Sidi Hassan
PRONOMS : il
DATE DE NAISSANCE : 27/11/1945
ÂGE : 24
OCCUPATION : sans emploi
MBTI : enfp
AVATAR : esmérald(o)
CRÉDITS : avatar by me ¤ art by amancayOkami & yukimora
PSEUDONYME : canou
Lun 16 Oct 2023 - 12:16
De deux choses l’une,
Sidi ne se considère ni comme particulièrement fragile -même si sa constitution ne lui permet pas non plus de trop se la jouer- ni profondément timide, d’ailleurs. Sensible, bien évidemment. Susceptible, à n’en pas douter. Mais il n’a jamais été quelqu’un de lâche. Sans aller jusqu’à dire qu’il est provocateur -dans le domaine de la colère, du moins- il a tout de même été élevé avec le respect qui était dû à son rang. Oh, bien sûr, Sidi ne s’évaluait pas au-dessus des autres sous prétexte qu’il est né avec une cuillère d’or vingt-quatre carats dans la bouche -la légende dit même qu’il avait failli avaler l’une des pierres- mais cela avait, bien sûr, habitué sa psyché à d’autres comportements le concernant.

Ici, il n’était pas un prince. Seulement un homme parmi tant d’autres. Un étranger qui plus est. Un lunatique de plus qui avait fui l’horreur de chez lui pour la patrie libertaire du nouveau monde…
Il n’était pas forcément toujours dérangé par cette nouvelle image. Au contraire, moins on le suspectait d’être ce qu’il était, plus il avait de chances de rester ici. Howard avait été bien clair sur ses directives. Faire profil bas, ne pas trop se faire remarquer, attendre son retour et… « … Quoi ? » Sourcils froncés, son visage avait étonnement perdu quasi immédiatement toute trace de sa compassion précédente. « Je n’ai rien volé. » Ramassant maladroitement les dernières feuilles pour se redresser et ne plus se retrouver dans une position si humiliante -dans cette circonstance du moins- il arrache le papier indignement tenu par son interlocuteur. « Vous savez que c’est- que c’est- » Il est très frustrant, dans ces moments-là, de ne pas pouvoir communiquer dans sa langue natale. L’anglais a toujours fait parti de ses apprentissages, depuis très jeune, mais cela ne l’empêche pas de ne pas penser en anglais. « C’est malpoli de lire les écrits des autres. Surtout quand on ne vous a rien demandé. » Serrant la pile de papier instinctivement contre son torse, on peut voir qu’il ne porte pas d’attention particulière au soin de ces derniers.

En vérité, Sidi s’en fiche bien de ses écrits. Ceux-là sont exutoires, peut-être même qu’il les aurait jetés lui-même.
Mais c’est une question de principe. C’est son droit de dénigrer son propre travail, pas celui d’un parfait inconnu. « Donc, pardon de vous avoir déranger… » Il n’en restait pas moins quelqu’un de relativement capable de reconnaitre ses erreurs. « … Mais allez bien vous faire foutre ! » … Presque.
Dans son accent mal maîtrisé, il y a quelque chose de risible à la situation, même s’il n’en a pas tout à fait conscience.
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Sinclair Ipkiss
MEMBRE DU STAFF
Sinclair Ipkiss
PRONOMS : he — him
DATE DE NAISSANCE : 14/05/1938
ÂGE : 31 ans
OCCUPATION : forain (propriétaire du stand de tir à la carabine à la foire)
MBTI : ENTP
AVATAR : David Bowie
FACECLAIM : David Bowie
CRÉDITS : avatar par neosen, art par yec_yourz
PSEUDONYME : neosen
VISAGE : مختلف ✘ sinclair Tumblr_pexz5tF6HP1qzhf3uo7_540
Ven 27 Oct 2023 - 18:40
Sinclair est toujours accompagné d'une fierté typiquement américaine. À force de le voir brandir le drapeau de son pays, on s'attendrait à l'entendre jurer des horreurs à l'encontre de tous ces étrangers qui foulent la même terre que lui. Mais non. En fait, il n'y a sûrement pas plus ouvert d'esprit que lui - un comble pour quelqu'un d'aussi désagréable, sûrement. Certains disent même que c'est du gâchis.
À quelques mètres de là, sur une table voisine, trois jeunes lycéens observent la scène avec une sale avidité, dans l'attente d'une querelle plus houleuse. Sinclair jette un oeil dans leur direction et lit sur leurs lèvres quelques remarques sur l'accent du poète maudit, sur la couleur de sa peau et la texture de ses cheveux. Sinclair n'aime pas ça et ne veut pas y être associé. Aussi, il se sent jugé par Shirley Simmons, autrice de Bien être chez soi et en soi qui l'accompagne depuis des mois maintenant (il n'arrive pas à dépasser le chapitre sur la gratitude envers autrui). D'embarras, il claque le bouquin et décide de ne pas en faire toute une histoire. Si seulement ce jeune étranger savait à qui il avait affaire, il serait sûrement infiniment reconnaissant de ne pas être humilié publiquement et sans pitié.

« Dis-donc, t'es bien malpoli, toi, qu'il note avec dédain paternaliste particulièrement agaçant, tu t'étales, tu glisses tes comptines de môme sous mes pompes et en plus je dois aller me faire foutre ? »
Il se sent glissé et le sourire des lycéens s'agrandir. Il ne veut pas les satisfaire, aussi il se montre plus franc envers eux et beugle : « Tu veux perdre tes dents ou ta dignité d'abord sale mioche de merde ? » Il déteste tous les enfants du monde. Les adolescents sont les pires. D'ailleurs, il n'hésite pas à le dire à son interlocuteur. « Je déteste les adolescents. Y a rien de pire. »
Les lycéens grimacent et baissent à peine les yeux en réponse ; de toute évidence, ils ne sont pas très impressionnés, peut-être un rien froissés, ou même un rien chauffés pour aller en découdre. Plus tard, pense Sinclair. Il a un burger à finir.
« Franchement, reprend-il comme s'il détenait soudainement la sage parole, tu parles mal au type le moins raciste de toute cette putain de bourgade. T'es sûr que tu veux pas t'excuser ? Ça va être difficile de passer un bon séjour après ça. » Ce n'est pas du chantage - même si ça y ressemble.
Sinclair paraît plutôt calme et avenant. Si on le connait bien. Et qu'on l'a déjà excité et non-avenant. Oui, ce comparatif peut être utile pour relativiser son comportement et jauger ses propos.


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Sidi Hassan
Sidi Hassan
PRONOMS : il
DATE DE NAISSANCE : 27/11/1945
ÂGE : 24
OCCUPATION : sans emploi
MBTI : enfp
AVATAR : esmérald(o)
CRÉDITS : avatar by me ¤ art by amancayOkami & yukimora
PSEUDONYME : canou
Lun 20 Nov 2023 - 20:56
Deux grands yeux noirs qui estompent le maigre venin qui s’y est installé font face à ce parfait inconnu. Les coups de sang sont assez rares et tout comme leur apparition soudaine, ils s’estompent après que l’adrénaline ait chu. La vérité, c’est que Sidi n’en veut ni à cette serveuse hautement désagréable, ni à l’homme qu’il vient d’insulter légèrement gratuitement. La vérité, c’est que Sidi gère extrêmement mal le malaise. Et plus que cela, la honte que ce genre d’incident laisse engendrer. Les ricanements rapidement stoppés par l’intervention même de son interlocuteur n’aide en rien à apaiser l’inconfort qui se marque par de nouvelles rougeurs sur ses joues sombres. Son accent peut amuser, bien sûr, mais c’est surement le manque d’assurance dont il fait preuve qui marque nettement plus le caractère risible. « Je vous demande pardon. » On penserait qu’il serait plus vindicatif au détour d’une rixe mais aussi impulsif qu’il puisse être, Sidi exècre la violence. Au moins autant que les écrits de mauvaises qualités. « Je ne pensais pas vous insulter vraiment. J’ai juste- » Il est encore bien trop conscient des regards qui les scrutent et se rapproche -de manière toujours courtoise, bien sûr- sa voix baissant de plusieurs dizaines de décibels. « Je ne suis pas ici depuis très longtemps et ces textes sont… Je m’en fiche en fait, vous savez. J’essaie d’écrire à mon père mais- » Il a aussi cette fâcheuse tendance à dépasser les bornes de l’honnêteté. Il ne connaissait même pas le nom de l’homme en face de lui, mais pourtant, se sentait prêt à confier sa vulnérabilité avec trop de facilité. « Il ne les lira probablement jamais de toute façon… » Un soupire fataliste qu’il balaie d’un signe de la main vague avant de s’asseoir avec un grand sourire en face de l’homme, les feuilles négligemment rassemblées et posées sur la table collée à la leur, pris d’un désintérêt soudain pour l’exercice pourtant passionnant les dernières heures durant. « Je m’appelle Sidi. Je viens d’arriver ici… Vous vivez dans cette ville depuis longtemps ? » Dans son regard brille une nouvelle gentillesse et curiosité nettement plus propre à son caractère initial. Les poings serrés qui soutiennent son visage dans une expression criant l’innocence -bien qu’il ne le soit plus autant qu’il ne le laisse paraître- son intérêt facilement changeant est maintenant focalisé sur cet inconnu au physique des plus surprenant, considérant ses propres standards. « J’aime beaucoup vos cheveux. Il n’y a pas beaucoup d’hommes qui portent cette couleur d’où je viens. C’est vos cheveux naturels ? »
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